Que la culture est difficile surtout quand elle ne suit pas les structures établies de notre cerveau.Autant on se régale et on ne voit pas passer le temps sur un spectacle de deux heures que l'on aime autant une demie heure peut quelquefois nous sembler long quand il ne correspond pas à nos "harmoniques" ,dirait-on en musique .
Je vous encourage à aller voir"confidences à Allah" de Gérard Gélas où la jolie Alice Bélaïdi éclabousse la scène de sa classe et de son énergie , alternant le rire et l'aigreur.
La rue est toujours aussi folle et la vie avignonnaise pendant le festival est un jolie foutoir où toutes les sensibilités sont représentées dans la rue , où tous les garages présentent un spectacle face au "In" très intello.
Je vous livre quelques photos prises dans la rue ainsi que celle des "fautifs" de confidences à allah .